Vues dans l’atelier de Marie-Ange Guilleminot ces deux immenses carpes pendues à la mezzanine comme au parapet le long d’un fleuve. Je vais arriver à Tōkyō pour la Fête des garçons, me dit-elle, le 5 mai. Enfin, c’était la Fête des garçons, qui est devenue la fête de tous les enfants, Kodomo no hi (子供の日). […]